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La situation est grave : la Depêche s'interesse un peu a l'Occitanie.
C'est donc que nous ne sommes pas loin de crever.
D'ici peu ce journal pugnace fera état des efforts gouvernementaux pour sauver la diversite culturelle et notre pauvre langue occitane.
Demain elle dira avec France Kultur et TF1 que cela n'interesse plus personne la langue patoise, que les occitans ont compris la beauté superieure du français, cela malgré les efforts de l'UNESCO et de la nomenklatura parisienne.
Alors que depuis toujours , elle enterre cepays, et enseigne le bon gout parisien.
L
a Depêche n'a qu'un seul but:"trouver le vent dominant de la region" , c'est un journal qui serait tout a fait incapable de sauver quoi que soit, de s'opposer à quoi que ce soit et de denoncer quoi que ce soit , a l'image de tous les organes d'information établis a Paris. Cette presse de province est à la hauteur des emissions des chaînes televisuelles: c'est a dire au degré zéro.
Le résultat de l'étouffement culturel qui sevit dans notre pays
.
Bonjour chez vous : vive la diversite monoculturelle. Vive la Depêche et les toits de tuiles rouges.
Tout le monde doit pouvoir parler................................................. français.
C'est tout ce qu'elle en sait( de la diversité culturelle).


"Quelques allocutions sur un mode décontracté ont permis de lancer la quatorzième édition de l'Estivada. Sous le chapiteau inaugural, aux côtés du maire de Rodez, ville au centre de gravité de l'occitanie, étaient réunis les représentants du conseil régional, du Département et l'émissaire de la Région Limousin, ce dernier symbolisant la nécessaire union des régions de lenga nostra.

Marc Censi, à l'aise comme un poisson dans l'oc, a appelé à «continuer de creuser ce sillon où est semée la graine de la création, le maintien d'une langue, d'une tradition et d'une culture», ces graines du «rebiscoul». Et d'inviter à «donner une dimension inter régionale» à l'Estivada», caractère qui garantit une «mutualisation des moyens et des efforts». C'est d'autant plus nécessaire qu'il s'agit d' «écarter les craintes qui pèsent sur la langue, si riche». Or, le besoin est grand, «face au phénomène de la mondialisation, de préserver ces teritoires aux richesses anciennes à même de fertiliser la culture mondiale», de faire pièce à l'homogénéisation et à a toute puissance de l'anglais.

Régis Cailhol, le représentant de Marti"

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